Delavigne, (Jean François Casimir). Messéniennes. Französische Handschrift auf Papier. Paris (?) um 1850. 8°. [47] Bl. mit illustriertem Titelblatt in schwarzer Tinte. Hldr. der Zeit mit goldgepr. Rückentitel und wdh. gekröntem Monogramm.
Schön ausgestattete Handschrift der bekannten „Messéniennes“, darunter „Le jeune diacre“ – „Partheope et l’etrangère“ – „Sur la bataille de Waterloo“ – „Sur la vie de Jeanne d’Arc“ u. a. – Der franz. Dichter J. F. C. Delavigne (1793-1843) „bewies schon als Schüler des Lycée Napoléon in Paris ungewöhnliches poetisches Talent durch einen Dithyrambus auf die Geburt Napoleons II. (1811), des Sohnes Napoleon Bonapartes. 1813 erschien sein Dithyrambus auf den Tod des Dichters Jacques Delilles, 1814 sein Gedicht Charles XII à Narva, 1815 La découverte de la vaccine, womit er von der Académie française den ersten Nebenpreis gewann, und 1818 seine Messéniennes, die sehr populär wurden. Diese politischen Klagelieder waren der Ausfluss eines glühenden Patriotismus nach der Niederlage Napoleons. … Delavigne ist neben Pierre-Jean de Béranger der Hauptvertreter der liberalen Richtung der französischen Literatur jener Zeit. Mit großem Geschick und Geschmack verstand er es, die Stimmung der Menschen, ihren Hass und ihre Liebe, in poetische Formen zu kleiden. Delavigne ist hauptsächlich Lyriker, einzelne seiner Gedichte, besonders auch die Chöre des Paria, überraschen durch Wärme und Innigkeit des Gefühls, Eleganz und Reinheit des Ausdrucks. Sein Stil schließt sich einerseits eng an den Klassiker Jean Racine an und erlaubt sich anderseits, besonders seit seinem Louis XI, gewisse Freiheiten, die nicht mehr dem strengen, klassischen Geschmack entsprachen“ (Wikipedia basierend auf den Eintrag in Meyers Konversations-Lexikon, 4. Aufl. 1888 ff.). – Gelenke etwas berieben, sonst gut erhalten. – Beau manuscrit des célèbres « Messéniennes », dont « Le jeune diacre » – « Partheope et l’etrangère » – « Sur la bataille de Waterloo » – « Sur la vie de Jeanne d’Arc », etc. Le poète J. F. C. Delavigne (1793-1843) « fit preuve, déjà en tant qu’élève du Lycée Napoléon à Paris, d’un talent poétique inhabituel en écrivant un dithyrambe à la naissance de Napoléon II (1811), le fils de Napoléon Bonaparte. En 1813, il publia son dithyrambe à la mort du poète Jacques Delilles, en 1814 son poème Charles XII à Narva, en 1815 La découverte de la vaccine, qui lui valut le premier prix secondaire de l’Académie française, et en 1818 ses Messéniennes, qui devinrent très populaires. Ces complaintes politiques étaient l’émanation d’un patriotisme ardent après la défaite de Napoléon. … Delavigne est, avec Pierre-Jean de Béranger, le principal représentant de la tendance libérale de la littérature française de l’époque. Avec beaucoup d’habileté et de goût, il a su traduire l’humeur des hommes, leur haine et leur amour, en formes poétiques. Delavigne est principalement un poète lyrique, certains de ses poèmes, notamment les chœurs du paria, surprennent par la chaleur et l’intimité du sentiment, l’élégance et la pureté de l’expression. Son style se rattache d’une part étroitement au classique Jean Racine et se permet d’autre part, surtout à partir de son Louis XI, certaines libertés qui ne correspondaient plus au goût strict et classique“ (Wikipedia).
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