(Massialot, François).
Nouvelle isntruction [sic !] pour les confitures, les liqueurs et les
fruits. Avec la maniere de bien ordonner un dessert, & tout le reste
qui est du devoit des maîtres d’hôtels, sommeliers, confiseurs, &
autres officiers de bouche. Suite du cuisinier roial & bourgeois.
Egalement utile dans les familles, pour sçavoir ce qu’on sert de plus à
la mode dans les repas, & en d’autres accasions. Nouvelle Edition,
revué, corrigée, & beaucoup augmentée. Paris, Claude Prudhomme 1704.
Kl.-8° (17 x 10 cm.). [12] Bl., 480 S., [11 statt 12] Bl. mit 2
Holzschnitten im Text, 1 gefalt. Holzschnitt-Tafel und einigen
Schmuck-Vignetten. Kalbslederband der Zeit mit goldgepr. Rückenschild
und reicher floraler Rückenvergoldung.
Bitting 584. Horn-Arndt 169 u. 170.
Oberlé 78, 94 f. Vicaire 454. – Frühe Ausgabe des zuerst 1692
erschienenen berühmten franz. Dessert- und Konditor-Rezeptbuchs. Spätere
Ausgabe erschienen mit dem Titel „Le Confiturier Royal“. Nach „Le
cuisinier roïal et bourgeois“ das zweite erfolgreiche Kochbuch des
berühmten Küchenchefs. – F. Massialot (1660-1733), seinerzeit der
berühmteste Koch Frankreichs, er war Hofkoch zahlreicher bedeutender
Persönlichkeiten des Adels, darunter Philippe I., Herzog von Orléans,
der Bruder von Ludwig XIV., und dessen Sohn Philippe II., Herzog von
Orléans. „Massialot beschreibt sich selbst in seinem Vorwort als „einen
Koch, der es wagt, sich als königlich zu bezeichnen, und das nicht ohne
Grund, denn die Mahlzeiten, die er beschreibt … wurden alle bei Hofe
oder in den Häusern von Fürsten und Leuten ersten Ranges serviert.“ Zu
den Orten, an denen Massialot Bankette gab, gehörten das Château de
Sceaux, das Château de Meudon und Versailles. Eine Neuerung in
Massialots Buch war die alphabetische Anordnung der Rezepte, „ein
Schritt in Richtung des ersten kulinarischen Wörterbuchs“, bemerkt
Barbara Wheaton. Wheaton hat die Änderungen in den verschiedenen
Ausgaben von Massialot verglichen: Ein Glas Weißwein in einer Fischbrühe
taucht überraschend spät auf, nämlich im Jahr 1703. Baisers tauchen
unter ihrem bekannten Namen erstmals bei Massialot auf, dem auch die
Crème Brûlée zugeschrieben wird, bei der die Zuckerglasur geschmolzen
und mit einer glühenden Feuerschaufel verbrannt wurde“ (Wikipedia aus
dem engl. Übersetzt). – Einband etwas berieben, das letzte Registerblatt
(W-Z) und der hintere freie Vorsatz fehlen, gutes dekorativ gebundenes
Exemplar.
Le première édition du célèbre livre de desserts français
paru en 1692. Livre de recettes de desserts et de pâtisseries. Édition
ultérieure publiée sous le titre « Le Confiturier Royal ». Après « Le
cuisinier roïal et bourgeois », le deuxième livre de cuisine à succès du
célèbre chef. – F. Massialot (1660-1733), en son temps le cuisinier le
plus célèbre de France, il fut le cuisinier de la cour de nombreuses
personnalités importantes de la noblesse, dont Philippe Ier, duc
d’Orléans , le frère de Louis XIV, et son fils Philippe II, duc
d’Orléans. « Massialot se décrit dans sa préface comme « un cuisinier
qui ose se dire royal, et non sans raison, car les repas qu’il décrit …
étaient tous servis à la cour ou dans les maisons des princes et des
gens de premier rang ». Parmi les lieux où Massialot donnait des
banquets, on trouve le Château de Sceaux, le Château de Meudon et
Versailles. L’une des nouveautés du livre de Massialot était l’ordre
alphabétique des recettes, « un pas vers le premier dictionnaire
culinaire », note Barbara Wheaton. Wheaton a comparé les changements
dans les différentes éditions de Massialot: Un verre de vin blanc dans
un bouillon de poisson apparaît étonnamment tard, en 1703. Les meringues
apparaissent pour la première fois sous leur nom connu dans Massialot, à
qui l’on attribue également la crème brûlée, dans laquelle le glaçage
au sucre était fondu et brûlé avec une pelle de feu incandescente »
(Wikipedia traduit de l’anglais). – Reliure un peu frottée, le dernier
feuillet d’index (W-Z) et la garde libre arrière manquent, bon
exemplaire relié de manière décorative.
Gute Ware
alles bestens!